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Conte musical, théâtre en musique, papiers, images

À propos de Bà…

C’est l’histoire d’un enfant et de Bà.
Ils vivent ensemble et partagent leurs journées...


Un conte pour enfants, une histoire universelle pleine de rebondissements et d’aventures où se mèlent rêve et réalité.
Un spectacle en mouvement, imaginé dans un décor de petits papiers pliés.
Des figurines et objets pliés, découpés s’échappent des livres et s’envolent.
La musique suggère un univers doux, coloré et mouvant.

Gratte-ciel ! Chatouille-nuage ! Frotte-air !
Je n’avais jamais rien vu d’aussi haut et brillant.
J’ai pris un peu d’élan et de mon tout petit pas tout petit pas,
j’ai enjambé le premier.
J’ai joué à saute-mouton de l’un à l’autre.
De l’autre à l’un.
J’ai recommencé plusieurs fois, c’était tellement amusant

L'équipe artistique

Pauline Albouy

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Elle écrit dans les reflets intimes de carnets bruns aux lignes mauves. Elle écrit depuis le début, depuis que le stylo est venu à sa main. Elle écrit ce qu’elle respire. Elle chuchote dans ses mots, elle feule, elle pleure, elle aime, elle poétise.

Comme l’hellébore en hiver, quand « la forêt miaule et que le ciel se lisse la barbe. » Les fameuses « cordes de clocher à clocher ; les guirlandes de fenêtre à fenêtre ; les chaînes d'or d'étoile à étoile » l’ont étroitement marquées, comme « les chants de Maldoror ». Elle revient   souvent à ces fontaines de jouvence, ces cris venus du tréfonds.

 

Née en 1975, en Aveyron, elle a vécu à Toulouse, Bourges, Lyon, est revenue en Aveyron.


Sous forme de narration poétique, fragments, romans, elle écrit, depuis le trottoir d’en face, sur ces personnes que l’on devine le soir venu derrière leur fenêtre, elle écrit sur les places imbibées de lumières, les paysages nus, les âmes larges et dégagées. Aux heures pleines du jour, elle travaille dans le domaine
artistique et culturel, elle y marche impliquée, en cadence. A la tombée du jour, elle écrit dans les reflets intimes de carnets bruns aux lignes mauves et tout (re)commence.

Jean-Marie Colin

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Musicien, photographe, vidéaste
Études musicales au Conservatoire de Rouen, notamment avec Louis Thiry (orgue), Jacques Feuillie (composition), et à l’Université Paris 8 Vincennes.
C’est par la composition qu’il aborde l’électroacoustique et la pratique des synthétiseurs.
En reliant cette activité avec sa formation d’organiste, il est amené à pratiquer assidûment l’improvisation, seul ou en ensemble.

Pédagogue depuis 1976, il a été longtemps directeur de conservatoires, en province, puis en région parisienne.

Entre 1991 et 2014, il a été inspecteur de la création, des enseignements artistiques et de l’action culturelle, au Ministère de la Culture, sauf, de 2007 à 2012, période durant laquelle il a dirigé le Conservatoire à rayonnement départemental de l’Aveyron.

 

Également photographe et vidéaste, peintre à l’occasion, il mène depuis longtemps de multiples activités, de concertiste, de compositeur (une soixantaine d’oeuvres à son catalogue), de recherches (dans le domaine de l’informatique musicale), et de rencontres vivantes et fructueuses avec de nombreux
musiciens, exerçant son art dans tous les domaines de la musique.


Il a collaboré avec des chorégraphes et des compagnies théâtrales.
Pour les spectacles « Ombre[s] de toi » et « bà », il travaille en partenariat avec Pauline Albouy.

 

Ses travaux les plus récents le conduisent à rassembler dans ses projets de créations l’ensemble de ses activités tant musicales que plastiques.


Il a en outre publié aux éditions Champs Sonores, deux livres de photographies : « Rythmes » et « Dancing days / Tango / Chronique 1 ».

Margot Cazaux-Ribère

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Après des études supérieures en Arts du Spectacle à l’université, elle est entrée au Conservatoire de Bordeaux où elle a obtenu son D.E.T. en 2016. Attirée par les projets trans-disciplinaires, elle s’intéresse aux pratiques du chant, de la danse et se spécialise dans l’écriture. Particulièrement sensible aux vertus sociales et politiques du théâtre, elle axe ses recherches autour de la création de spectacles qui puissent aller à la rencontre de tous les publics.

Entre 2011 et 2017, elle a travaillé avec la Cie Prométhé à Bordeaux, lecollectif La Lupa à Bordeaux, la Cie L.E.A. à Bordeaux, le théatre del’Anaphore à Saintes et les productions Merlin à Poitiers.

Comme danseuse elle s’est également produite dans « Crible Poitevin» au Théâtre Auditorium de Poitiers (Yaï Barelli, Emmanuelle Huynh, Isabelle Lamothe).

Margot a également à coeur de participer à des projets qui soient des outils au service de l’intégration, de laliberté d’expression, du partage et de l’échange entre toutes les cultures.

En bas, sous moi, se tenait une immense muraille,
d’un tout petit pas,
je suis descendu de nuage en nuage, jusque-là.

Un instrument de musique : le Karlax

Le Karlax est un module de commande qui communique sans aucune liaison filaire avec un ordinateur distant.
Conçu par le musicien Rémi Dury au sein de la société Da Fact, le Karlax permet de manipuler en direct et simultanément des sons et/ou des images.
Issu d'une recherche à la fois informatique, esthétique et ergonomique, le Karlax est un instrument de scène parfaitement adapté à toutes sortes d'utilisations, depuis les plus conventionnelles jusqu'aux plus innovantes et surprenantes.
Grâce à la programmation informatique mise en oeuvre en amont par le manipulateur, le Karlax est un outil numérique de création d'exception.

Son ouverture et son accessibilité permettent d'envisager des utilisations inouïes par des acteurs qui peuvent être de simples manipulateurs en mouvement ou bien des musiciens aguerris maîtrisant une technique aussi sophistiquée que celle de n'importe quel instrument rencontré habituellement sur les scènes.
Le Karlax explore ainsi des modes de jeux variés qui vont donc d'une forme traditionnelle de jeu instrumental, par la manipulation des clés et pistons dont l'instrument est doté, jusqu'à la possibilité d'une chorégraphie
spatiale débouchant sur des interactions également sonores et visuelles rendues possibles par ses équipements gyroscopiques et inertiels.
Pour toutes ces raisons, le Karlax est à ce jour utilisé, dans de nombreux pays, à la fois par des musiciens performeurs qui improvisent ou interprètent un répertoire qui commence à s'écrire, en solistes ou en ensembles de musique de chambre, mais aussi pas d'autres utilisateurs, notamment des danseurs chorégraphes qui créent ainsi en direct l'univers sonore en même temps qu'ils le dansent.
Dans ses spectacles, Jean-Marie Colin établit une sorte de synthèse entre toutes ces utilisations, développant sur scène une gestique qui lui permet d'improviser dans l'espace ou de réaliser des univers pré établis.

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